I'm not any more the same, sorry [U_C]

© Rokku

Richieu Ceris Lucio Coriolan feat Taylor Fuchs IDENTITÉ identité nom « Richieu prénom(s) « Coriolan Lucio Ceris dit « Puck » âge « i seulement ce jeune-homme n'avait jamais eu ses trente et un ans trois jours avant ce phénomène il aurait tout simplement vingt et un ans seulement il en a vingt. Encore un an avant son départ. date de naissance «29 aout lieu de naissance « Russie nationalité « Franco-Russe occupation « Dans les jours maintenant futur il était grand danseur désormais il a simplement le statut d'étudiant en art. situation « célibataire classe sociale « Riche groupe «We're back to change the future

CARACTÈRE
caractère

Coriolan est une personne qui a toujours voulu être mature, responsable et être tellement mature et grand, en grand mot Corio ou alors Puck est quelqu'un qui a voulu grandir trop vite, tellement qu'il a oublier certaine étapes pour qu'il devienne véritablement un adulte. Non, manque de maturité même, si la question se pose, car il est là toujours présent à dire une petite bêtise par ci par là, très discrètement il pourrait bien faire une conneries, oui Puck est quelqu'un de très plaisantin, cherchant a rendre à son interlocuteur le sourire qu'il a perdu. Mais, il a une certaine fierté et dignité ce qui lui empêche parfois de quelles bêtises quoique tant que le mot « défi » est en jeu, il serait bien capable de faire quelques choses de très spectaculaire. Enfin, c'est une certitude Puck a plus un tour dans son sac mais, il est du gentillesse très voyante, ses lèvres étirés de se sourire amicale, son regard posé sur son interlocuteur rempli de gentillesse mais, d'une autre lueur de mystère.
S'il était simplement gentil et rigolo rien en serait intéressant en lui, une part de lui, est digne d'une personne de son rang, la prétention et la sensation de se croire supérieur aux autres seulement dans un domaine qui le connait tellement bien: la danse.
Quoiqu'il en soit il lui arrive a se croire le roi, il est vrai le beau brun se croit pour un roi mais, c'est croire que ce petit bout n'a jamais grandi dans sa tête à ce sujet là, après tout il n'a que vingt-neuf ans, rentrant dans la trentaine il a cette crise de la trentaine mais, non pas qu'il se croit bon à rien mais, plutôt le contraire seulement il trouve qu'une certaine chose en lui a changer, que la vieillesse le rend mauvais et vaniteux avec le temps, le monde de la danse le rend si mauvais qu'il a peur de perdre sa gentillesse si naturel. Alors, quand il est, était gosse enfin plus jeune, il avait cette légère prétention mais, toujours accompagné d'un sourire pour faire croire que c'est de la plaisanterie, il gardait bien plus la tête froide.

Coriolan n'a jamais pu pardonner, oui même pour la moindre petite chose, c'est un garçon qui boude pour un rien, pour de simple bêtise la rancune ne seras guère longue mais, quand cette bêtise est trop haute, il n'adressera même plus la parole qu'un simple regard habituellement rempli de gentillesse est rempli de rancune et si froid ça donne un air diffèrent a Corio.

Deux points rares et pourtant si voyant est qu'il a l'atout ou plutôt la contrainte de se montre cynique et froid, quoi qu'il en soit il est bien chiant quand il ainsi, surtout c'est qu'il a le chic de l'être dans les mauvais moments et jamais dans les bons, puis une fois qu'il se montre ainsi l'envie de le gifler envahi la personne plus que tout mais, voilà c'est qui est bien avec Puck c'est qu'il n'est pas aussi lunatique que les gens les croient, il lui arrive par moment de tester la personne et de voir comment elle réagit quand il se montre si cynique et froid, ça à fait fuir plusieurs petites danseuses qui le croyait gentil comme un frêle petit agneau se cachant derrière sa mère.
Tel un gamin, il n’accepte jamais ses sentiments et préfère le garder pour lui et faire ressortir le contraire de ce qu’il ressent, il se noie dans ses propres sentiments, s'il avait pris le temps de grandir et de ne pas se jeter dans le monde des adultes si vite, il n'aurais jamais été aussi espiègle face à ses sentiments et a certaine chose, il a souvent des réaction d'un enfant de dix-neuf ans alors qu'il en a, ou plutôt en avait dix-ans de plus.
Il a toujours éprouvé ce sentiment de posséder ce qu'il a, c'est à lui et personne d'autre surtout question fille, il a du mal a « partager ». Le jour où il donnera un petit sous à un petit Homme au pied d'un building tendant sa pauvre main, ça sera simplement un rêve, il les méprisent peut-être pas mais, il ne leur donnera surement pas d'argent, il est radin oui avec ce qui est argent et fille alors, qu'avant quand il était jeune et frivole il était généreux tellement qu'il en était abusé ce qui explique pourquoi désormais il est si radin. La vieillesse n'adoucis pas mais, rend méchant, une preuve même sur ce jeune homme encore rempli de vie et de gentillesse mais, au grand défauts qui ne s'effacent pas toujours malgré ses sourires mignon irrespirables, ses mots doux d'où il a été traité de beau-parleur depuis sa tendre enfance une vérité, son affection, sa sociabilité, son obstination en effet il n'est pas près de laisser son idée derrière lui quand elle n'est jamais accomplie... Intelligent, ou du moins il a certain raisonnement qui font qu'il est loin d'être stupide, il se pose beaucoup de questions sur certains sujets mais, quand il faut agir ils font souvent dans le tas donc, souvent sur la première hypothèse que son cerveau a trouvé mais, enfin parfois il se complique bien trop la tête et reste sur certain principes et idées qu'il sait fait.
C’est un pro pour taquiner n’importe qui en générale ce n’est jamais vraiment méchant mais, ca devient vite lassant et énervant ce qui suit sa franchise, parfois il parle trop et gaffe. Changer? Non ça ne serait qu'utiliser un grand mots, ses défauts on juste empirer avec les temps et ses qualités elles n'ont jamais disparus, il est toujours si gentil, attachant, rêveur, souriant, plaisantin,cultivé, curieux et obstiné.

HISTOIRE
histoire

« …..
Souriez vous êtes enceinte.
…. »
Petite femme aux allures de diva marchant dans les rues des quartiers chic de Moscou, tout droit sortit d'une prestigieuse école de danse, Mzelle Périne Közlove bientôt Richieu était une belle et grande danseuse étoile Russe, l'une des meilleurs de sa génération, il y avait des masses certes mais, elle en faisait partie avec sa tenu dans son sac, elle venait de raccrocher que son chauffeur était déjà arrivé.
Discrètement elle lui tendit un bout de papier, où il y avait marque un petit mot que seul, lui et elle savait quelle direction prendre, la petite berline noire mais luxueuse s'avance dans la masse noire de voiture vers, un hôpital tout petit et très loin pour éviter les médias.
De longues heures de routes pour y arriver, les voitures ses faisait rare, et ce n'était que de vieux tacot, les habitations étaient remplacées par la végétation, pou du moins tout était exagéré pour Mzelle Périne, elle avait tellement l'habitude de la ville que dès qu'elle allait dans les petits banlieuex campagnarde, elle avait peur de tombée nez à nez avec une vilaine vache. Sur ses pensées d'enfant, elle tendit ses deux petites jambes frêles hors de la voiture, et d'un léger pas de danse elle en sortie, étendant ses longs bras au-dessus de sa tête. Mzelle Közlove gardait toujours le sourire coute que coute et était toujours très optimiste, alors elle ne croirait surement pas que cet examen elle stopper sa carrière d'un coup de fouet. S'avançant dans les gravillons telle une belle gazelle et la fierté d'un cygne suivi de son majeur d'homme inquiet pour elle.
- « Mademoiselle, vous allez vous faire mal.
-Mais non mais non, George je suis aussi agile qu'un jeune chat.
-Vous savez cela aurait été plus simple si vous auriez fait un test de...
-Non non mon petit George, Pierrick s'en serait rendu compte et les médias aussi. Imagine donc le titre que cela aurait fait: « La Diva Périne prise la main dans le sac avec un test de grossesse. »
-Vous avez raison. »
La petite femme aux vêtements rouge rentra dans cet hôpital chaleureux, un sourire béat sur ses lèvres dû à l'odeur qu'il dégageait elle restait assisse là, à attendre son médecin, une fois qu'elle était face à son médecin, il lui sourit, elle aussi. Des minutes passèrent et Périne stressait entortillant ses petites mèches de chevaux libres entres ses doigts, dès que son nom fut annoncé elle se leva d'un bon.
- « Souriez Madame vous êtes enceinte. »


« …..
Ouvre les yeux jolie bambin.
….. »

La carrière de Périne avait prit fin elle en était déchu mais, voilà que dans quelques instant elle allait donné vie, elle était triste mais, heureuse à la fois, d'avoir l'enfant de son être aimer, de pouvoir avoir la joie de sentir l'effet qu'être mère fait mais, surtout la douleur des contractions qu'elle ressentait mais, une chance pour elle que son première enfants était presser de sortir et qu'elle avait ressentit des contractions forte et douloureuse mais, à « coutre' durée.

« C'est un petit garçon, vous avez chois un nom. »
Toute essoufflé elle regardait son mari avec son bébé dans ses petits bras maigrichon.

« Coriolan Lucio Ceris Richieu »
Posant un baiser sur le front de l'enfant, elle chuchota de sa belle voix.

- « Ouvre les yeux jolie enfant. »

Et là commença la corvée d'être parents, comme tout petit bébé Corio pleurait bien moins, que la moyenne au grand joie de son père qui avait des spectacle a donné et avait don besoin de repos et à sa pauvre mère étant la seule à se lever quand Puck se réveillait en pleine nuit.
Elle se levait avec sa petit robe de chambre de soie lui arrivant sous ses belles petites fesses, de ses bras elle l'enveloppait et le tira hors de son lit. Le berçant de droite à gauche, elle chantonnait une berceuse qui venait tout juste d'endormir l'enfant.

« …..
Le plus cadeau qu'une mère peut avoir
….. »
Si la plus grande joie est d'avoir un enfant c'était bien Madame Richieu qui l'avait bien compris, cette petite femme d'originaire de Russie avait tout quitté alors, qu'elle tellement aux sommets de la réussite, a quoi bon elle n'avait pas voulu avorter c'était son choix, elle aimait son mari malgré ses défauts, elle aimait ses baisers, ses caresses et les mots qu'il lui chuchotait en creux de l'oreille , il parlait si bien et des mots si tendre sortant tout droit de poète, d'écrivain connus, il avait l'intelligence de connaître tellement de texte poétique et un grand fan des pièces de théâtre, des spectacles. Il n'était pas metteur en scène pour rien mais, voilà que l'absence de son mari dans l'éructation de son fils lui manquait terriblement, il ne le voyait pas grandir et manquait tellement de bon moment, comme ses premiers pas, la première fois qu'il est prononcé un mot compréhensible et puis surtout le plus beau jour de la vie d'une ancienne danseuse est de voir son fils dansé extraordinairement bien, qu'elle sut tout de suite qu'il avait irrité de son don, elle se voyait en son fils et la joie de lui apprendre tous se qu'elle savait l'avait envahi, il ne voulait pas qu'il gâche un tel donc, et l'inscrit tout de suite à des cours de danse puis, derrière elle l'entraînait d'elle-même, elle était danseuse après tout. Pour elle c'était le plus cadeau qu'une mère pouvait avoir car, elle voyait déjà l'avenir de son fils tout tracé, qu'il soit sur les affiches et accepter dans la grande école de danse de St-Petersbourg, comme elle avait fait, Corio avait déjà son chemin tout tracé comme celui de sa mère sauf qu'il devrait continuer jusqu'au bout.
Dès les onze ans de son fils, elle l'avait tout de suite inscrit dans cette prestigieuse école et il fut accepté haut la main, ce jour-là sa mère et lui s'en souviendront toujours, pour elle c'était pour la réussite de son fils et de le voir déjà grand danseur pour lui car c'était la fois où sa mère n'avait cessé de l'aimer, de le féliciter et d'avoir passé une journée rien qu'avec elle dans les rues de St-Petersbourg, ils étaient loin de chez eux à Moscou.
L'enveloppant de ses tendre bras après lui avoir noué son écharpe autour de son coup et d'avoir fermé son blouson, elle le serra contra sa petite poitrine.
-Corio je te félicite, bravo je te remercie d'avoir été si spectaculaire, si grandiose. Oh Merci Corio, je t'aime tellement mon petit garçon rien qu'à moi.


« …..
Ne t'inquiète pas la vie n'est pas si dure qu'elle en à l'aire.
…. » Cinq plus tard- va sur ses 16 ans.

Périne refermait doucement le dernier carton sous le regard de son mari fumant une cigarette alors qu'elle était de nouveau enceinte d'une petite fille, elle leva les yeux doucement tout en pensant qu'elle s'en voudrait toute sa vie de laisser son fils adoré à ses parents, elle ne voulait pas le laisser tout seul perdu et sans son soutien, elle ne voulait pas partir pour l'Amérique sans son fils et pourtant elle en était obligée, oui car, son mari avait besoin d'elle là-bas et pour leurs nouveaux enfants la Russie n'était pas le meilleur pays pour l'élever, pour une petite fillette il fallait un beau pays et une belle ville bien plus développer et mieux que Moscou: New-York.
Mme Richieu désormais, ne savait pas comment ça à son fils à son retour, il allait retrouver la maison vide, sans aucune trace de vie, sans sa mère, son père, sa dernière soeur âgé de deux ans nommé Hermia, tous de noms sortient des pièces de Shakespeare, c'était dû à leur père qui était un grand fans de ses pièces mais, de tant d'autre aussi qu'il voulait que ses enfants en auraient le nom.
Peu importe, Mme Richieu se demandait comment elle allait annoncer ça aussi à Hermia, elle qui adorait voir son frère revenir frigorifié et le couvrir de bisous pour qu'il joue avec elle par la suite, comment allait elle dire à son fils qu'elle allait le laissée seul sans soutient pour son avenir alors, qu'elle savait qu'il en avait
besoin car, avec ses aires de garçon qui se dit grand et fort, il a toujours des aires d'un petit garçon de quinze ans fragile. Elle a toujours su que son fils couvrait ses sentiments pour ne pas gêner énerver et inquiété les autres.
-Pierrick aide-moi à trouver une solution?
-Je me charge de Hermia, Coriolan ne va pas tarder à arriver.
Son mari tourna les talons en éteignant sa cigarette dans un cendrier, le seul objet qu'il restait dans la maison hors des cartons.
Périne fit mine de se coiffé et passa par l'ancienne chambre de son fils et emportait une valise et deux sacs, son mari voyant sa femme chargée retourna en arrière pour l'aider et lui laisser seulement un sac en bandoulière où il y avait les objets personnels et indispensable pour un voyage en train.
Les affaires en bas, elle était vite remontée pour aller chercher quelques choses, d'un objet pour qu'il se souvienne d'elle pendant ses trois dernières années en Russie sans eux.


Hermia- « Maman Grand-frère est là!!!! »

Elle stoppa sa recherche dû à cette horrible boule qu'elle avait à l'estomac, un goût amère à la bouche, son petit coeur frivole battait la chamade et les larmes lui montaient aux yeux, tellement qu'elle se mit a cherché comme une folle dans les cartons elles voulaient trouver ses deux objets. Dès qu'il mit les doigts sur cette petite boite, elle fut soulagée, une belle boite à musique en bois de chêne verni rouge qui dégageait une magnifique mélodie russe et une petite danseuse tournait sur elle-même, à l'intérieur il y avait deux belles bagues, une pour une demoiselle et l'autre pour un homme, une magnifique chaine pour homme et une gourmette était aussi y reposer. Elle sourit tout en fermant la boite et la collant contre sa poitrine, enveloppant cette dernière de son écharpe fétiche, elle descendait enfin les escaliers.
Et dès qu'elle avait apperçcu son fils sur le porche, elle ne put s'empocher de verse quelques larmes qu'elle dissimula derrière un petit sourire et une mèche de chevaux. Enlaçant son fils et se décollant à lui pour lui tendre la boite envelopper de l'écharpe. Corio lui avait souri gentiment mettant son regard sur la boite puis sur elle, la prenant dans ses fines mains de jeune garçon.


-Qu'est ce qu'il y a maman?
-Corio, mon garçon tu sais que je t'aime tellement, tu le sais?

-Maman

-Je suis désolée mais, c'est la dernière que nous nous voyons ton père, ta soeur et moi partout pour New-York, tu restes ici pour continuer ton avenir, tu iras chez tes grands-parents, ne m'en veux pas je t'en supplie, je suis obligée de te laisser seul, Coriolan je suis si désolée crois-moi. Rien que d'avoir la pensée de te laisse me tordre le coeur...
Une chut libre pour le jeune garçon qui se retenait de se crier et de pleurer, il n'afficha qu'un simple regard en disant à sa mère que ce n'était rien, qu'il allait avoir seize ans et qu'il était assez grand pour supporté le reste de la pression seul mais, en vérité, c'était bien faux.
Tout le trajet qu'il avait passé seul dans le train pour arriver dans la maison de ses grands-parents lui avaient paru longue et interminable et surtout une vraie torture dès qu'il vit les mines affreuses de ses grands-parents.
Appelant sa petite amie:Mischa au téléphone, elle lui dit d'une voie douce et calme.
« Ne t'inquiète pas la vie n'est pas si dure qu'elle en à l'aire. »

« …...
Je te quitte ne m'en veux pas.
….. »
Un an plus tard- 17 ans

Rien de plus banal qu'un jour glaciale en Russie, où sortir dehors est un supplice même pour traverser une rue pour aller acheter le pain, oui il fallait sortir couvert très couvert surtout pour quelqu'un qui tombe facilement malade et, Puck ne devait pas tomber malade oui en effet, sinon cela le retarderait même de quelques semaines dans son travail mais, alors qu'est ce qu'il faisait dehors sous la neige givrante, bras collé contre lui, visage enfoncé dans son écharpe, et un bonnet sur sa tête recouverte de la capuche de son blouson, oui c'était bien un jour très froid et ce n'était pas à son habitude de sortir ainsi dans le froid à peine couvert pour surmonter un froid pareil. Oui et cela se fessait ressentir bien vite dès, qu'il sentait ses membres engourdis, ses dents claquée et la fatigue qui l'envahissait. Il attendait quelque chose ou plutôt quelqu'un puisqu'il était à un arrêt de bus puis, ce dernier arriva doucement et une petite silhouette de jeune fille qui attira le regard du brun en descendit et à la vu de Corio sourit gentiment, lui sautant dans les bras avec un léger sourire. Elle était heureuse mais, il y avait quelque choses qui clochait dans le comportement de la belle, oui elle n'avait pas ce même- sourire, ce même regard, il y avait quelques chose qui clochait et Corio s'en rendit vite compte quand il n'avait pas reçu un baiser.

-« Je t'avais dis de ne pas m'attendre Corio, tu es congelé... Non ne prend pas mes bagages. »

Depuis qu'elle avait quitté l'école il y a quatre mois, elle était différente, désormais elle ne venait qu'une à deux fois par moi dans sa ville, oui la même que le jeune homme: Kronstaft, une petite ville a 20 km de St-Petersbourg. Le couple se voyait donc très peu ce qui changeait d'avant. Coirio et elle étaient ensemble depuis deux ans et demi déjà, oui c'était avant des amis d'enfance pour enfin finir ensemble quand ils en avaient l'age d'y penser sans doute, qu'ils étaient un peu trop jeune et naïf pour croire que ça allait durer, c'est vrai qu'ils ont connu tous ensemble, leurs premières fois... Marchant sur le chemin sans aucun mot, ils étaient arrivés chez Mischa, d'habitude ils fessaient toujours l'amour à peine un pied chez elle mais, là rien ne se passe, long silence pendant quelques minutes restant tous les deux plantés sur le porche, se regardant dans les yeux, Mischa finit par mettre fin à ce long silence, tout enlevant ses bottines, déroulant son écharpe de son coup la posant sur le port-manteaux avec son bonnet, et son manteau, enfilant ses pieds dans de vieux chausson, elle déposa alors, un baiser sur la joue de Coriolan.

- « Tu es malade? »

-« Non. »

Elle lui sourit pour qu'il fasse de même mais, Corio resta aussi froid que le marbre la regardant marcher dans la pièce vers la cuisine, sortant de deux tasses, et une bouteille de lait avec une boite de chocolat en poudre, elle les prépara avec amours et dès qu'elle remarqua que le jeune homme n'avait pas bougé, elle s'approcha de lui tendrement, en ouvrant le blouson de ce dernier, puis l'écharpe et enfin le bonnet qu'elle déposa sur le porte-manteau sans jamais avoir lâché le regard du jeune homme, elle le regardait intensément et faisait exprès de se coller à lui pour qu'il l'embrasse, elle posa ses mains sur son torse, les faisant glissées jusqu'aux siennes.
-« Embrasse-moi s'il te plait. »
Le jeune brun la regardait, Mischa était belle si belle, qu'il se doutait de ce qu'elle cachait derrière ses beaux sourire et ses gentillesses, tous ce qu'elle faisait n'était pas habituelle, elle ne l'avait pas taquiné sur le chemin, elle n'avait pas critiqué les passants, le voyages, son école et lui, elle n'avait prononcer aucun mots sur elle et voilà qu'elle leurs préparaient un chocolat chaud, alors que c'était lui d'habitude et surtout elle ne lui avait pas littéralement sauté dessus dès qu'ils étaient arrivés. Le regard du jeune homme était rempli de mélancolie, un regard inquiet, triste que la belle le remarqua aussitôt, d'une voix douce mais, remplie de stresse.

- « Corio qu'est ce qui te tracasse? »
-« Rien du tout. »

Et Corio se mit enfin à l'embrasser comme à la demande de la belle qui semblait de plus en plus inquiète dû au comportement de son compagnon mais, comme succombé par ses baisers elle se laisse un peu importe, jusqu'à stopper tous ce petit changement de sujet, en mettant ses fins doigts sur les lèvres du brun.
-« Corio qu'est ce que tu as? Tu es bizare! »
-« Rien du tout » Se penchant de nouveau pour l'embrasser, cette dernière le repoussa de nouveau et s'écarta lui.

- « Coriolan je veux savoir immédiatement ce qui te tracasse? Il t'arrive quelque chose de grave? »

Le jeune Russe s'approcha d'elle tout en tendant les bras pour attrape le visage de Mischa entre ses mains tout en plongeant son regard dans le sien.

- « Je t'aime c'est tout. »

Mischa était totalement surprise, elle ne s 'entendait pas a ce qu'il lui dise ainsi de la sorte avec t'elle franchise, qu'elle le repoussa de nouveau mais, pas pour la même raison, elle se sentait coupable, coupable d'une chose qu'elle entretenait déjà depuis deux mois. Elle avait quelqu'un d'autre, elle trompait Corio pour une homme qu'elle aimait plus que lui. La belle Russe lui tourna le dos puis d'une petite voie.

-« Corio je dois te dire quelques chose. Je te quitte, ne m'en veux pas»

Il le savait, baissant sa tête avec un léger sourire se moquant de lui même car, il avait été si stupide et naïf de croire que malgré la distance ca marcherait.

- « C'est bon j'ai compris. »

Corio venait de faire quelques pas en arrière, reprenant ses affaires près à partir ignorant que Mischa était larme, pour enfin avancer vers lui et lu faire face.
« Je suis désolée. »« Et moi don. »

« Corio, je t'en supplie pardonne-moi, comprend-moi...Je.. »

« Ne dis plus rien, » Il posa un de ses doigts sur les lèvres de la belleplus un mots, je ne t'embêterais plus avec mes gamineries. »
Il enleva son doigt de ses lèvres pour enfin lui tourner le dos.
Corio se retourna vers elle, puis la prenant dans ses bas sachant que ca allait être la dernière fois qu'il allait la toucher.

-« J'espère au moins, qu'il ne te feras pas pleurer et qu'il bon. »

Mischa resta paralysé, le regardant partir sans un mot, elle s'en voudra tout sa vie surtout qu'elle a mit fin a a une relation si longue par une autre si courte.


« …..
Il y a toujours des moments dur a supporter.
….. »
Bientôt ses 18 ans

Voilà deux ans qu'il est seul ou du moins à moitié, il ne pouvait pas dire que ses grands-parents étaient une très grande compagnie mais, peu importe il n'avait pas vu sa familles, les coups de file promis ne s'était jamais fait, aucune information sur eux hormis dans un petit journal où il avait su qu'il avait eu une deuxième petit sœur. Il n'avait plus personne autour de lui en qui, il avait perdu sa petite amie Anna il y quelques mois venait de le quitter pour un journaliste, oui elle avait soit disant succombé sous son charme et c'était comme le coup de foudre de Romeo et Juliette, il maudit ses stupides pièces de théâtres...
Il était donc seul perdu dans les pressions et la difficulté de l'école, heureusement qu'il avait un don et qu'il dansait très bien, sinon il n'aurait jamais réussi à aller si loin. Puis, du a son obstination et de ne jamais lâcher prise même lors des mauvais moments après, tout il en a eu tellement qu'il crois être invisible, tant qu'il lui reste ses deux bons amis qui allait bientôt le quitter car, ils allaient à Paris, avait ils dis, puis à Londres, il faut savoir que ses deux amis sortaient ensemble, oui c'est donc pour ça que Corio avait eu de salle rumeurs à son sujet, il a toujours des moments dur à supporter.
La solitude était une chose que Corio ne pouvait supporter alors, il décida de se montrer bien plus ouvert, espiègle et avenant envers les autres avec sa tête de gentil garçon il avait réussis à se crée des amis, autre que dans la danse car, le beau brun trainait partout dans les rues jusqu'à ce qu'il finisse enfin ses années de danse avec beauté.
Le 15 Juin son portable venait de sonner, inconscient de la responsabilité qu'il allait prendre en décrochant, on venait tout juste de lui demander de venir à Miami, c'était sa mère qui voulait fêter cela, et comme un imbécile heureux d'avoir de ses nouvelles il accepta.
il ne savait plus où il devait aller et ses parents étaient incapable de lui dicter le chemin qu'il devait prendre, trop préoccuper à s'occuper de leurs enfants qu'au final Puck fut obligé d'abandonner la danse pour s'occuper de ses deux sœurs, tellement petites et fragiles, qu'il sentait qu'elles n'étaient plus si heureuses qu'avant dû au manque d'affection qu'elles ressentaient tout deux, le manque de regard maternel et et paternel et de baiser.
Puck sentait quelque chose à plein nez mais, il avait préféré a faire l'innocent ou du moins ne pas vouloir que ce qu'il pensait était vrai, oui son père comédien et sa mère professeur de danse après avoir abandonné une carrière a si haute niveau ne pouvait qu'un jour s'éclipser et ne plus jamais revenir car, ils se rendaient compte d'années en années qu'ils n'étaient pas fais pour être parents.
Voilà, les pensées du jeune homme qui avait choisi l'université de Miami à la place d'aller tpout droit dans sa carrière de danseur, il avait tout abandonné car, il avait senti le mal arrivé et ce qu'il avait jamais voulu qui se produise venait de s'accomplir. Un jour où il rentrait de cours, voyant ses deux sœurs blottie l'une contre l'autre et la maison a moitié vide. S'accroupissant face à elles avec un large sourire, elles lui sautèrent au coups.

« Ne pleurez pas, je ne vous abandonnerez jamais. »

« …..
Bonjour, Je m'appelle Thimiri avec un « h » entre le « T » et le « I »
….. »
Tout juste 18 ans

Corio venait tout juste de rentré à L'université, oui on pouvait dire qu'un petit Russe au nom français parlant anglais, était très étrange de plus qu'il maitrisait parfaitement la langue comme s'il l'avait toujours parler. Corio pouvait épater ses professeur disant qu'il était trilingue dû a sa famille, grand-parent sachant ne parler que Russe, ses parents communiquaient entre eux en anglais et la famille de son père ne parlait que français au final pour tout comprendre il devait apprendre a parler les trois langues et a force de vivre avec chacun iles les apprenaient, la langue française était celle qui maitrisait la moins bien.
Assis sur sa chaise regardant le paysage, une blondinette venait tout juste de s'accouder sur son brueau et de passer sa main de petite fille devant les yeux de Corio pour qu'il mettent sonr regard sur elle.

- « Bonjour, je m'appelle Thimiri avec un « h » entre le « T » et le « I ». Et toi tu es le nouveau?

Une rencontre, une amitiés, un amour?

« …..
Ce n'est qu'un au revoir.
….. »
19 ans

Le plus triste dans cette histoire et le plus dommage, c'est que Coriolan a du tout abandonner, rêve, adolescences, vie d'étudiant et de fête, savoir le mal que ses parents leurs avaient fait, et ce qu'ils avaient pensées, sans laisser d'indices et de moyen de les contacter, seul un tas de sous à travers une dizaine de compte différents. De savoir que sa carrière allait être finit et qu'il allait être simplement un simple étudiant frustré, de voir ses soeurs partirent à leur tours.« Oui allo Monsieur Richieu, il est temps de leur dire au revoir, vous savez que vous ne pouvez pas les garder, vous avez fait le bon choix. Une voiture seras là dans quelques minutes.»
-« Merci. »
Le jeune Richieu raccrocha le combiner, se tournant face à ses deux soeurs habillées de leurs petits imperméable, elles se tenaient la main et regardaient son frère avec des gros yeux, lui s'accroupit face à elle.

« Je vous promets que je viendrais vous voir. »
« Tu nous avais promis... »
« Je suis désolé mais, je ne peux pas. »
« Tu ne veux plus de nous? »
« Bien sur que non, vous allez me manquer mais, vous ne pouvez pas restez avec moi. »

La voiture était là devant la villa, une derrière étreinte, et ils ne les reverraient plus jamais.

Quelques heures après- Université de Miami

-Alors?
-Elles sont parties.
-Qu'est ce que tu vas faire maintenant
-Je n'en sais rien.
-Il Y a toujours de moments difficile Puck.
-Je sais.

QUESTIONNAIRE
questionnaire

avez-vous commis des erreurs dans le passé ? « Tellement que je n'ai pas envie de m'en rappeler
si oui, lesquelles et souhaitez-vous les réparer ? «bizarrement je ne crois pas avoir envie de les changer? Ma vie ne serait pas pareile et surtout qu'est-ce que ça fait vraiment de changer le passé même si m'a vie est en jeu en cet instant. Je crois qu'on ne peut pas changer le destin donc les choses qui sont arrivées dans le passé s'exécuteront un jour ou l'autre...
qu'est-ce que vous regrettez le plus ? «De jamais pourvoir dire réellement ce que je pensais, ressentait, d'avoir été trop espiègle et immature face à des évènements si grave alors, que je me rendais compte de ma bêtise, j'ai trop voulu semer le trouble et la zizanie dans ma vie et dans mon entourage que ça à cause tellement de choses que je n'avais jamais voulu et qui me mène peut-être à ma mort.
garderez-vous le secret de votre retour en arrière ? «
sauverez-vous une personne, si vous connaissez son triste destin ? «« Encore une question où je dois montrer de sérieux? Et bien honnêtement j'en sais rien, je ne pourrais répondre car, je ne suis pas sur les fait mais, peut-être que oui, peut-être que non plusieurs choses me disent que oui mais, tant d'autre que non.... Ouais ouais je sais je vais arrêtez de me la jouez, je ne vais pas réussir a enlever mes chaussure après. *rire*

DERRIÈRE L'ÉCRAN
derrière l'écran

pseudo & âge « Humm appelez moi Benji et mon age entre un certain nombre et un autre.
la raison de votre venue ici «Le contexte
comment avez-vous connu le forum ? « pub
code «Pikapika

Excellent choix d'avatar
Bienvenue ^^

Bienvenue parmi nous et merci de ton inscription =)
Je te souhaite bonne chance pour ta fiche