Présieuse Blondie ¤ Serenity M. Standford

© Bazzart
Standford
Serenity Madalyn
feat - Taylor Momsen -
IDENTITÉ
identité

nom « Standford
prénom(s) « Serenity Madalyn
âge « 19 ans
date de naissance « 1 er Juin 1990
lieu de naissance « Miami
nationalité « Américaine
occupation « 2 ème année en psychologie
Situation « Célibtaire
classe sociale « Modeste
groupe «We"re just students
CARACTÈRE
caractère

Vous savez, un caractère ce n'est jamais très facile à définir, en particulier quand vous avez une personnalité très changeante. C'est fou comme une suite d'événements peux vous changer, vous faire passé d'une jeune fille souriante et amicale, à une personne renfermé et insociable. C'est pour cela que ce n'est jamais très simple de définir une personnalité car selon moi votre caractère est forcément lié aux éléments de votre histoire personnelle. Et bien sur cela est impossible de prévoir ce qu'il vous arrivera au cours de votre vie.

Si vous m'avez connus avant mes dix ans, vous pourrez dire de moi que j'étais une petite blondinette très souriante et aimable avec les personnes qui m'entouraient. Jamais vous n'auriez vu un sourire triste sur mon joli visage. Quand je me rendait avec ma mère chez une de ces amies, j'avais toujours droit aux même réflexions :
-Oh ! Mais comme elle est adorable ta fille, elle est si souriante et si mignonne avec cette joie de vivre.
J'adorais entendre cela car au fond, ces réflexions me flattaient et me donnaient envie de transmettre cette joie qui me possédait.
Mais ma mère avait toujours ce don de tout gâcher avec ces répliques cassantes :
Détrompe toi, il ne faut pas se fier à une tête d'ange, elle enchaîne les conneries, c'est une vraie petite peste.
Bon c'est vrai que j'étais du genre à faire des bêtises mais jamais je me serrait qualifiée de petite peste. Tous les enfants font des bêtises non ?

Quand un événement bouleverse votre petite vie d'enfant, en particulier celui de voir sa mère se faire battre par son propre père, vous commencez à vous posez des questions sur cette vie si belle que vous vous étiez construite. Je suis rentrée dans une période très difficile, je ne savais distinguer le bien du mal. Vous savez, les enfants sont dans leur monde et pour eux, le model de vertus qu'ils possèdent sont leurs parents. Les miens m'avaient toujours appris que la violence ne pouvait résoudre aucun problème et que je ne devais pas l'utiliser car cela était une chose que l'on considérait comme mal. J'étais devenue une enfant méfiante qui savait plus en qui elle devait avoir confiance et ce sentiment de méfiance est toujours resté en moi au cours de ma vie. Alors, quand mon père commença à me batte à mon tout, je me forgea une carapace, ne laissant plus rien paraître de mes sentiments, me renfermant dans une sortre de bulle dont seul ma soeur avait la clef.

Lorsque j'eus douze ans, la pire des choses qui puisse arrivé à une enfant perturbé arriva. Celle que j'aimais tant disparu à jamais. Se fut surement lorsque j'aperçus son corps si horriblement déposé dans cette rue que je sortis de cette bulle dans laquelle je m'étais enfermé. Je deviens alors une jeune fille des plus insupportable. Bien sur, on aurait pus dire qu'il s'agissait d'une crise d'adolescente comme les autres, mais ce n'étais pas le cas. J'étais devenue colérique, je voulais tout ce que je demandais et si je ne l'avais pas, je pouvais pousser des crises monstrueuses. Mais ce que je voulais le plus s'était elle, et personne ne pouvait me l'a donner. J'étais devenue rebelle et révoltée même à l'école. Un soir, la directrice de mon collège téléphona, par chance, mon père n'était pas rentré du travail.
Bonjour Madame, je suis désolé de vous déranger mais c'est au sujet de votre fille.
Apparemment, elle trouvait que je me rebellais trop en cours et que je répondais à mes professeurs, mais bref passons. Personne ne pouvais calmer cette peine que j'éprouvais et je ne savais pas comment l'exprimer.

Mais ma vie n'état pas fini et ma personnalité n'était pas entièrement construite. Après le drame de mes quinze ans, je me suis transformer en un jeune fille très réservé, qui ne s'approchait plus des gens et qui restait dans son coin. Vous savez la solitude à toujours un point positif, elle vous permet de réfléchir sur vous et sur le monde qui vous entoure. Mais bien sur toute chose à aussi son point négatif. En effet, les gens penseront toujours que vous être insociable. Ce que je suis devenue en effet, j'ai tellement peur des personnes ) présent, je n'ai plus confiance.

Vous comprenez à présent quand je vous dis que l'histoire d'une personne fait sa personnalité ? Bien sur je suis passé par différents stades, mais ces traits de caractère ont fait partis de moi et feront toujours partis de ce que je suis désormais.

HISTOIRE
histoire

Part 1 : Une famille pas comme les autres

1er Juin 1990 - 6h48
Hopital de Miami

Ce n'était pas un jour de pluie, encore moins un jour de neige, en même temps pour un mois de juin, il est rare que l'on voit tomber de la neige non ? Le soleil n'était encore pas totalement levé quand l'ambulance qui transportait ma mère arriva a l'hôpital. J'avais décidé que je voulais naitre aujourd'hui et pas un autre jour. Ma mère hurlait de douleur, comme dans tous les accouchements je présume mais je pensais quand même qu'après un deuxième enfant cela serait moins douloureux non ? Bref passons. Toute la famille était réunis pour accueillir la petite dernière de la famille : Moi. Et ce fut d'ailleurs peut être la seule fois de ma vie que nous étions tous réunis pour un événement aussi heureux. La première fois que j'ouvris les yeux, ils étaient tous là, réunis autour du lit ou maman me tenait dans ces bras. Comme ils étaient mignon avec leur sourires. Papa était là et il était resplendissant, il avait l'air si gentil et j'avais hâte de pouvoir faire sa connaissance. Meghan était là elle aussi, accompagné de Dylan qui lui n'était âgé que de trois ans. Ma vie commençait, entouré par des personnes qui m'aimaient, ma famille ... Cette journée là, un grand soleil envahis Miami.

3 Mai 1994
Zoo de Sans Fransisco

Nous étions en vacances à San Fransisco depuis maintenant trois jours, je n'avais seulement que quatre ans, mais j'avais supplié mes parents de nous emmener faire un tour au Zoo, j'en rêvais et je voulais a tout pris voir les éléphants et leur donner a manger comme je l'avais vu faire à la télévision. Meghan n'était pas très emballé a l'idée de passer la journée dans un Zoo a observer des animaux en cage. Mais il me suffis de lui faire mon regard suppliant pour qu'elle se décide à accepté. Ma mère non plus ne semblait pas très emballé. J'avais remarqué que depuis quelques temps, elle ne semblait pas aller très bien et qu'un bleu était apparus sur son bras. Un jour je m'aventura à lui poser la question mais je ne le fis pas deux fois, vu le ton sec qu'elle prit en me répondant :
"Rien !
Nous avions donc décidé de passer la journée au Zoo, en famille. Dylan semblait assez heureux lui aussi de cette sortie mais il s'amusait s'en cesse à me narguer avec l'ours en pluche que je trainais toujours avec moi. S'était un ours blanc, tout doux, que Meghan m'avait offert pour mes quatre, je l'avais baptisé Picollo et je ne le quittais jamais. A cette époque, j'étais encore une enfant naïve et joyeuse, tout m'émerveillait et rien ne pouvait me rendre plus heureuse que de gambader dans un parc accompagné de mes deux parents, de mon frère et surtout de ma soeur. J'avais toujours éprouvé une sorte de protection quand elle était près de moi, je savais que ou que je serais elle serait avec moi, et qu'elle me protégerai quoi qu'il arrive.
La journée au Zoo passa tranquillement tout comme les animaux qui défilaient sous mes yeux : Lion, panthère, ours blanc ... et les éléphants. J'avais demandé a mon père de me descendre de ces épaules pour que je puisse marché et voir ces animaux si impressionnant de plus près. Il accepta malgré les interdictions de ma mère. Aussitôt par terre je courus vers la grille pour m'approcher, malgré les cris de ma mère qui me suppliait de revenir. Je ne les écoutais pas, je n'en faisait qu'à ma tête. Ils étaient là, si grand et si beau. Il y avait beaucoup de monde autour de moi, des grandes personnes, mais aucune tête inconnus. Je me retourna mais ils n'étaient plus là, plus à l'endroit ou je les avaient laissé un peu plus tôt.
Maman ?! Meghan ??? MAMAAAN ???
Les larmes me montaient aux yeux, je voulais les retrouvés, pourquoi m'avaient ils tous abandonnés ? Étais je si méchante que cela ?
Tu es perdus ? Ou est ta maman ?
Maman ???
Viens avec moi, on va retrouvé ta maman !
La jeune femme me prit par la main et me sortit de la foule. Je chercha partout avec mes petits yeux d'enfants, mais je ne vis personne. Je suivais la dame qui m'emmena à l'entrée du parc. Je l'entendis dire des mots qu'à cette époque je ne pouvais pas comprendre, mais une chose était sur, elle parlait d'eux.
Je vous jure, des parents indignent, laisser une enfant si jeune, toute seule.
Ce fut à ce moment là que je compris mes parents étaient différents des autres parents. J'étais la seule enfants perdus, il n'y avait que mes parents qui avaient oublié leur petite fille devant la cage aux éléphants. Pendant a peu près une heure, je me posa plein de questions, pourquoi m'avait il abandonné, pourquoi étais je aussi méchant ... Je ne fus rassuré qu'à partir du moment ou Meghan me pris dans ces bras et me murmura :
Ne t'en fais pas, je suis là !
Elle avait l'air si furieuse contre nos parents. C'est a ce moment là que je compris que ma vie ne serrait rien sans elle.

25 décembre 1996 23h36
Appartement

Je crois que toute ma vie je me souviendrais de ce 25 décembre 1996, le noël de mes six ans. Depuis toute petite, j'adorais les périodes de fête. Il y avait tellement de lumières, celle des sapins devant les maisons rendait le sombre ciel de décembre plus lumineux que d'habitude. Nous, nous n'avions qu'un minuscule sapin que maman avait posé dans un coin du salon. La veille, Meghan, Dylan et moi nous étions amusé a le décorer, cela le rendait plus coloré et plus joyeux. J'aurais voulus avoir un sapin dehors, comme toutes les autres maisons, mais maman disait que nous n'avions pas les moyens de nous acheté deux sapins. Comme toutes les petites filles, j'avais reçus une poupée par le père noël, elle était si belle que j'étais persuadé qu'au plus profond des yeux bleus elle me comprenait. Je l'avais appelé Meghan car je trouvais qu'elle ressemblait un peu a ma soeur.
Comme tout les enfants le jour de noël, je voulais passer des heures a jouer avec mes jouets dans ma chambre sans savoir réellement quel heure il était. Je lança un regard a travers la vitre de ma chambre. Il neigeait. S'était si beau, je n'en avais jamais vu en vrai, seulement à lé télévision ou dans des livres d'images. Je courus dans la chambre de Dylan et ouvrit la porte sans frapper.
Dylan Dylan ! Il neige ! Tu as vu il neige.
Descends de mon lit l'asticot et sort de ma chambre
J'étais tellement heureuse que je sortis aussitôt de sa chambre et descendit les marches rapidement pour me rendre dans la cuisine. Je savais que ma mère s'y trouverait encore.
Mamaaaaaan ! Mamaan tu as vu il neige !!! ... Maman ? qu'est que tu as sur ton oeil ?
Un hématome recouvrait une grande partie de son oeil droit. Elle fut étonné de me voir, son visage était rouge, mais je ne savais pas si il était rouge à cause du fait qu'elle avait pleurer ou bien si s'était parce qu'elle tenait un verre de rouge à la main. Je jeta un coup d'oeil a la bouteille et uppercut qu'elle était presque vite. Son étonnement de me trouver dans la cuisine à une heure pareil se transforma en un énervement.
Qu'est que tu fais là toi ? Monte te coucher, tire toi dans ta chambre, je veux pas te voir dans mes pattes.
Je resta stupéfaite, les yeux plein de larmes. Une main se posa sur mon épaule.
Viens !
Meghan me monta dans ma chambre et resta avec moi jusqu'à ce que je m'endorme.

26 Novembre 2000 19h30
Chambre de Serenity

On nous a souvent répété que l'année 2000 serait le nouveau millénaire, un nouveau tournent dans l'histoire de l'humanité. Je ne pensais pas que ce serait un tournent dans mon propre monde. Ce soir là, il faisait très froid dehors, Meghan était de moins en moins à la maison, elle était tombé amoureuse d'un mec mais je ne l'appréciait pas. Tout d'abord parce qu'il me volait ma soeur, et puis il était très bizarre, il me faisait peur. Depuis qu'elle était avec lui, elle était devenue comme lui, son regard était vide quand je lui parlais. Elle n'était plus là pour moi, elle ne me protégeait plus. J'avais l'impression qu'elle m'en voulait, qu'elle voulait vivre sa vie après avoir passer dix ans de sa vie à s'occupe de moi. C'est vrai après tout, j'étais une grande fille maintenant, je pouvais me débrouiller seule. Dylan lui, il était de plus en plus méchant avec les autres, mais je ne sais pas pourquoi il ne l'était pas avec moi. Bon bien sur, il me taquinait toujours, comme un grand frère, mais jamais il ne bousculait pour me faire tombé comme il le faisait avec les autres enfants.
Ce soir là, maman aussi était sortit, elle disait qu'il n'y avait plus de bouteille d'alcool dans les placards, mais qu'ils en aurait surement au bar du coin. Je ne savais pas pourquoi mais maman buvait beaucoup, et quand elle buvait elle était différente, plus violent, plus agressive, ce n'était pas ma mère. Elle nous avait laisser seul, moi et Dylan avec papa. Depuis que je savais qu'il frappait maman, je lui en voulait tellement que je n'arrivais plus a le regarder dans les yeux. Mais pourquoi la frappait il alors que tout deux m'avaient appris que la violence n'avait jamais été une bonne chose ? Je ne comprenais plus, nous vivions dans un monde étrange, ce n'était plus ce monde d'enfant.
J'avais faim, je n'avais pas manger de la journée et il n'y avait rien dans le frigo. Mon père était posté devant un match de football américain, une bière a la main.
Papa ? J'ai faim mais il n'y a rien a manger.
Degage morpion
Mais papa ...
DEGAGE JE TE DIS
Tout alla si vite que je ne me rappelle plus de grand chose hormis de la canette de bière venant s'écraser sur mon visage. Je remonta rapidement dans ma chambre en pleurer. Pourquoi me crier t-il dessus ? Pourquoi était il si méchant ? Agenouiller entre la fenêtre de ma chambre et mon lit, je pleurais en silence. La porte s'ouvrit lentement et des pas s'avancèrent près de ma cachette. Une main me tendit un mouchoir.
Arrête de chialer l'asticot.
Je veux Meghan !
Ouai bin elle est pas là Meghan, il faudra bien que tu grandisses un jour et que tu la laisse vivre sa vie !
J'observa Dylan, les yeux humidifié par les larmes. Il s'installa près de moi et un long silence s'installa.
Je suis méchante hein ?
Non ...
Pourquoi il est méchant alors ?
....
Il va recommencer dit ?
Un silence s'imposa de nouveau. Je m'impatientais de la réponse que mon frère ne me donnait pas.
Dylan ?
Je ne le laisserais pas recommencer ... Je ne laisserais plus jamais un homme te faire du mal ... Je te le promet
Nous restâmes longtemps assis ici sans ne rien dire.

Part : Le début du cauchemard

3 Novembre 2002 - 18h45
Une rue de Miami

Je pense que cette date restera a jamais gravé dans ma mémoire, ce fut à cette date précise que je perdis l'être le plus précieux à mes yeux, celle qui me faisait exister, qui m'avait soutenue pendant tant d'année. J'avais l'impression qu'une part de moi était partis avec elle quand le médecin légiste referma le sac ou se trouvait son corps inerte.
Un peu plus tard dans la soirée, alors que Dylan jouait tranquillement à un jeu vidéo et que je lisait un livre sur le canapé, le téléphone sonna. Ce fut maman qui décrocha, papa n'était pas à la maison ce jour là. Je leva la tête vers elle, ne comprenant pas pourquoi elle avait une voix si bizarre et si désespéré.
Oui c'est moi ? .... Que lui est-il arrivé ?
Un long silence suivit la réponse de l'interlocuteur, Dylan leva a son tout les yeux vers maman, attendant une suite, une action, quelque chose qui nous permettrais de nous rassurer.
Très bien, j'arrive...
Sa voir se brisa quand elle raccrocha le téléphone. Elle nous regarda, je sentais que quelque chose n'allais pas qu'il s'était passer quelque chose.
Prenez vos manteaux
Sans poser de questions, nous nous exécutâmes et la suivirent sans rien dire. Elle sortit dehors, nous sur ces talons, passa devant la voiture et tourna a droite au bout de la rue.
Maman ?
Elle ne répondit pas, j'observa Dylan qui me fit signe de ne rien dire. Il se passait quelque chose mais personne ne voulait me dire quoi. Dylan, lui avait quinze et j'avais le pressentiment qu'il savait ce qui se passait. Nous arrivâmes dans une rue remplie de gendarmes, certains questionnaient des passant, d'autres relevaient des empreintes un peu partout sur le sol, certaines prenaient des photos ... et d'autres étaient autour d'un homme en blouse blanche qui examinait quelque chose sur le sol. Je fronça les yeux pour mieux apercevoir de quoi il s'agissait. Je poussa un petit cris d'effroi quand je compris qu'il s'agissait d'un corps. Maman ne disait rien, Dylan non plus ...
Un gendarmes s'approcha de nous.
Madame Standford ? .... Je suis désolé pour votre fille
Je leva la tête vers ma mère, elle ne broncha pas, ne laissait paraître aucun sentiment. Je n'eus pas de mal à comprendre que le corps qui était au pied de l'homme en blanc n'était autre que ma soeur. Un sentiment d'impuissance et de colère m'envahit. Qui avait osé me l'enlever, qui me l'avait prise ? Le gendarme continua sur sa lancer.
D'après les analyses, votre fille serait morte d'une overdose madame. Mais elle a été tabassé après sa mort et ce n'est pas très jolie a voir. Lui connaissiez vous des ennemis ?
Ma mère ne répondit rien, elle avait les yeux fixé sur les jambes de sa fille disparus. A ma grande surprise, ce fut Dylan qui répondit.
Elle sortait avec un certains Mike Corners, s'était son dealer
Je regarda mon frère surprise qu'il sache autant de chose que moi j'ignorais sur ma soeur. Je reporta mon attention sur la scène du crime, je pouvais la voir nettement à présent. Elle était a moitié nue, son visage ensanglanté n'était pas aussi jolie qu'il l'avait été. Ce Mike m'avait enlever ma soeur et au plus profond de moi je souhaitais le voir mort. Malheureusement pour moi, il n'eut droit qu'à une peine de prison. Mais nous n'en n'avions pas finis avec les fils Corners.

28 Juillet 2005 21h
Fête sur la plage

Cela faisait déjà trois ans que l'on avait retrouver ma soeur morte dans une rue. Je ne m'en étais pas remise, et je pense que désormais je ne m'en remettrais jamais. Je m'étais renfermé sur moi même, ne parlant quasiment à personne, ne laissant personne m'approcher. Comme je le disais un peu plus haut, nous n'en avions pas finis avec les fils Corners. Mike avait un jeune frère de mon âge, Noah. Après la mort de Meghan, il a tenter de me tourner autour. Je ne pouvait pas dire que je n'étais pas sensible a son charme, bien au contraire mais je me méfiais de lui et Dylan encore plus. Il ne supportait pas que le frère de celui qui avait tuer sa soeur tourne autour de son autre soeur et risque par la même occasion de me faire du mal. On ne pouvait pas dire que Dylan était tendre avec lui ce qui avait le don d'énerver Noah.
Un soir de juillet, une fille que je connaissais pour être dans la même classe, m'invita à une soirée sur la plage, sois disant pour fêter l'été. Je n'étais pas très emballé à l'idée de m'y rendre sachant que Noah et tout ces amis s'y trouvaient. A contre coeur, je m'y rendis quand même.
Je ne connaissais personne, mise à part la fille qui m'avait invité. Elle fut très heureuse que je soit venue et me proposa d'aller me servir un verre au bar puis de la retrouvé elle et ces amies sur la piste de danse qui n'était qu'en faite qu'un petit carré de sable où les gens se trémoussaient. J'hésita, mais après tout un verre ne pouvait pas me faire de mal. Je m'approcha alors du bar.
Une limonade.
Une limonade ? C'est tout, tu me déçois un peu !
Je connaissais cette voix mais je n'osais pas me retourner même si je n'entendais aucun gloussements et que cela signifiait qu'il était seul. Je me retourna quand même pour lui faire face.
Qu'est que tu me veux Noah ?
Ou la calme me toi mon ange ! Pourquoi es tu sur la défensive avec moi
Je ne répondit rien, me contentant de boire une gorgée de ma limonade. Noah adressa un sourire au barman sans que je le comprenne. Nous restâmes près du bar pendant quelques instants a observer les autres, je n'étais pas très à l'aise en sa présence.
Soudain je sentis que je partais, ma tête tournait horriblement sans que je ne comprenne pourquoi. Puis plus rien. Je me réveilla le lendemain avec une sensation étrange. On m'avait allongé sur un lit et il me manquait certains vêtements que je ne me souvenais pas avoir enlevés. Je regarda autour de moi, personne, uniquement un bout de papier déposer sur la table de nuit.
Alors ça ta plut ? Dis bonjour a ton frère !
N
Je me releva doucement du lit et rentra à la maison tant bien que mal.
Dylan était là. Quand je passa la porte il vit tout de suite que quelque chose n'allait pas. Je monta dans ma chambre, voulant l'éviter le plus longtemps possible. Après tout, il m'avait promis qu'il ne laisserait plus jamais un homme me faire du mal et il n'avait pas tenus sa promesse. Il me suivait dans le couloir. Entrant dans ma chambre, je tenta de fermer la porte mais il la retins.
Bien alors dit moi ce qui ne vas pas
Il y avait dans sa voix de la colère mélangé a de la tristesse et de l'impuissance.
Je crois ... Je crois que l'on ma drogué cette nuit et que l'on ....
..... abusé de toi ?
Je hocha la tête sans dire un mot de plus. Jamais je n'ai avouer a Dylan de qui il s'agissait, j'avais tellement peur de sa réaction.

Aujourd'hui

J'avais quinze ans à cette époque et maintenant j'en ai dix-neuf. Dylan et moi sommes a la fac et je suis en deuxième année de psycho. Noah est là aussi et je crois que je suis amoureuse de lui mais je ne sais pas ce que sait qu'être amoureuse je ne peux donc rien vous affirmer. En tout cas il me fait toujours aussi peur. Je n'ai jamais avouer a Dylan qu'il s'agissait de Noah le violeur mais je ne comprends pas pourquoi depuis quelques jours il lui en fait baver comme si il voulait se venger de quelque chose, comme si les vieux démons revenaient. Le seul hic, à cause de cela, Noah a décider de me pourrir la vie deux fois plus

QUESTIONNAIRE
questionnaire

quel est votre rêve ? « Mon rêve ? Je n'en ai jamais réellement eu. Si peut être de ressusciter John Lenon pour qu'il m'apprenne à jouer ces magnifiques chansons à la guitare. Non sans rire, mon rêve ? Peut être de devenir un peu plus riche, avec cela je pourrais peut être offrir à ma mère un voyage sans alcool, je suis sur que sa lui ferrait du bien.
qui considérez-vous comme la prunelle de vos yeux ? « Mon frère, bien sur, il a ces airs de méchants garçons, mais avec moi, il a toujours été adorable, il me protège si il devait disparaître je ne pense pas que je serais capable de rester sur cette terre.
qui ne pouvez-vous pas voir, même en peinture ? « Lui, Lui et encore lui, je n'ose même pas citer son nom. Il me fait peur, je le hais tellement.
si vous deviez changer une chose, laquelle ? « Sa mort, peut être que si j'avais été plus attentive à elle au lieu que ce soit elle qui soit attentive à moi, cela aurait pu tout changer, et elle serait surement encore en vie à l'heure qu'il est.
si vous pouviez revivre un instant, lequel ? «Un jour, alors qu'il faisait chaud, ma soeur nous à emmené sur la plage, s'était la première fois que je voyais la mer. Nous étions tout les trois, s'était si magnifique, s'était le paradis. Même si le paradis n'existe pas sur terre ...

DERRIÈRE L'ÉCRAN
derrière l'écran

pseudo & âge « Mohahahha tu seraa pas !
la raison de votre venue ici « J'ai entendu du bruit, ça m'a intriguer
comment avez-vous connu le forum ? « Le pouvoir des admins (l)
*ok by Ali* «