Carol Blake Andrews

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ANDREWS Carol Blake feat - Sophia Bush - IDENTITÉ identité nom « Andrews prénom(s) « Carol Blake âge « 19 ans date de naissance « 5 avril 1990 lieu de naissance « New-York City nationalité « Américaine occupation « Etudiante en droit. situation « En couple classe sociale « Modeste puis Aisée groupe « We\'re are back to change the future

CARACTÈRE
caractère

« Comment me définir rapidement… Ce n’est pas évident en fait ! Car je suis quelqu’un d’assez paradoxal parfois. A 19 ans, j’étais déjà une jeune fille forte mais il arrivait que ma naïveté prenne le dessus. Ce trait de caractère a changé et je ne suis plus du tout influençable. J’aime me faire ma propre idée des choses et à cela, je pourrais ajouter que je n’ai aucun préjugé.
Je suis fière de moi, de ce que je suis devenue et du parcours que j’ai effectué depuis mon plus jeune âge. Je sais ce que je vaux mais je ne suis pas prétentieuse pour deux sous, loin de là ! Je prends facilement conscience de mes erreurs et je n’hésite pas à faire marche arrière. En revanche, étant plutôt très têtue, j’avoue que parfois, je tiens tête à mon interlocuteur alors que je suis parfaitement consciente des mes torts… Il faut bien quelques défauts, non ?
Souriante et dynamique, je suis quelqu’un d’optimiste, même s’il m’arrive d’avoir des moments de doutes. Les idées noires ne m’épargnent pas mais j’essaie, tant bien que mal, d’y faire face seule ; sans en parler aux autres. Mon oreille attentive et toujours présente est l’une de mes plus grandes qualités, mais, en revanche, je ne me confie pas facilement. Seuls les gens à qui je tiens vraiment me connaissent et connaisse mon histoire ; les autres n’en ont qu’un large aperçu…
Fidèle, tant en amitié qu’en amour, je suis quelqu’un de très dévoué et passionné. Quand on aime, on ne compte pas ! Et ce serait un peu mon dicton. Ma joie de vivre, en revanche, ne date pas de si longtemps que ça. Mes années de fac ont en fait été très révélatrices vis-à-vis du nouveau moi.
Je suis une battante, et j’aurai peut-être tendance à écraser tout et tout le monde sur mon passage pour arriver à mes fins. Un peu casse-cou, ma passion pour les courses automobiles de rue, ne m’a jamais quitté même si je n’exerce plus cette activité illégale aujourd’hui. D’ailleurs, j’ai gagné de ces courses d’être quelqu’un de très loyal.
Je suis quelqu’un de très gentil et d’accessible. En effet, mon statut de femme aisée et accomplie ne m’empêche pas d’oublier d’où je viens et pourquoi je suis tel quel aujourd’hui !
Je me fiche totalement de ce que les gens pensent de moi. Généreuse, extravertie mais pas trop, j’adore rire et je sais profiter de la vie que je sais trop courte. Mon plus gros défaut est certainement d’avoir beaucoup de mal à dévoiler mes sentiments…
Enfin, on peut dire que je connais la valeur des choses et des gens. Je suis très tolérante vis-à-vis de tout ce qui m’entoure et je respecte quiconque, à condition que ce quiconque me respecte ! Je peux me montrer très mauvaise et même si je ne suis pas rancunière, je ne pardonne pas si facilement que ça. Il est vrai que je peux m’énerver facilement et dans ces cas là, gare à vous !! »

HISTOIRE
histoire

« 10 février 1991
- Je ne voulais pas de cette gosse ! Tu l’as pondu, tu t’en occupes !! Et qu’elle arrête d’hurler ou je crois que je vais finir par commettre un crime…
Ainsi résonnait la douce voix de mon jeune père. Ce n’était pas un mauvais bougre, mais il était dans la fleur de l’âge et n’avait, pour ainsi dire jamais connu ses parents. Comment savoir ce qu’est un père alors ? Et comment assumer ce rôle à 20 ans à peine ?
- N’écoutes pas ce qu’il dit mon ange, je t’aime. Et il t’aime aussi mais, il a juste peur de t’abîmer. Alors, il préfère te regarder de loin. Et puis, essaie de contrôler tes pleurs, s’il te plaît… Car cela rend nos voisins fous…
Ma maman. Absente mais aimante. Telle est la courte description que je peux en faire. Elle aussi était jeune, mais elle venait d’une famille nombreuse et avait toujours su comment materner quelqu’un, comment s’occuper de tout dans une maison (ou un appartement en l’occurrence). Absente, car elle travaillait énormément pour que je ne manque jamais de nourriture. Aimante, car elle avait toujours été là pour moi, pour me soutenir, pour me protéger aussi.

29 mai 2004
- Bon ben salut Ty !! On se voit demain !
Je souris, lui fit un signe de la main et tournai au coin de la rue pour rejoindre mon immeuble. Depuis mes 10 ans, je savais m’occuper seule. Je rentrais chez moi en sortant de l’école, je goûtais puis je faisais mes quelques devoirs avant d’aller jouer à la corde à sauter en bas de ma rue. Tyler était mon ‘frère de cœur’. Cette appellation vint plus tard mais c’était, à l’époque, mon seul ami. Nous allions tous deux dans une école primaire du quartier de Harlem et nous ressentions alors le « racisme du blanc »… En effet, nous étions les seuls ‘visages pâles’ de la classe et, à cause de cela, nous étions un peu mis à l’écart par les autres. Aujourd’hui, je me rends compte que cela fut une chance car c’est de cette manière que nous sommes devenus amis et que je fis alors l’une des rencontres les plus importantes de ma vie.
Nous étions également au collège ensemble et, là encore, je n’avais que Tyler McCoffee comme ami. Nous partagions tout et nous ne pouvions plus vivre l’un sans l’autre.
Bref, je poussai la porte de l’appartement et découvrit mon père écroulé sur la table, une bouteille vide à la main. Telle était l’image que j’avais de lui, chaque soir en rentrant. Depuis au moins deux ans mon père était alcoolique. Il avait perdu son travail et n’en avait jamais retrouvé. Ma mère était la seule à savoir ce que c’était de gagner sa croûte et lui, pour la remercier, il dépensait tous nos biens en alcool et en cigarettes… Triste dessein…
Je n’en fis pas de cas et me préparai un en-cas avant de retrouver mon petit lit pour réviser mon devoir de maths du lendemain. Après une heure de calme, un réveil sonna et je l’entendis valser à l’autre bout de la pièce. Un bruit de chaise, puis un lourd vrombissement me firent comprendre que mon cher père venait, une nouvelle fois, de s’étaler en plein milieu du salon. Seulement, la suite ne résonna pas comme d’habitude. Un hurlement masculin, des éclats de verre puis des cris d’hystérie féminine tirèrent de mes bouquins et, alors que je débarquai en trombes dans la petite salle à vivre, je compris instantanément que ma vie venait de basculer.
Mon père venait de se jeter par la fenêtre. Il avait trouvé une force intérieure surpuissante qui l’avait tiré de sa langueur, et l’avait projeté à travers les fins carreaux de notre appartement. Tout cela, je le compris en m’approchant de la fenêtre et surtout de ma mère qui venait de s’effondrer en larmes sur la moquette tâchée du salon. Je déployai toutes mes forces et jamais ma mère ne vit une larme couler sur mes joues : je me devais d’être forte pour elle. Bien plus tard, elle réussit à m’expliquer pourquoi avait-il fait ça. En ce jour si particulier, alors qu’elle était rentrée bien plus tard que d’habitude, il l’avait suspecté de tromperie et avait levé la main sur elle, sans jamais la toucher… Ce considérant comme un monstre et un danger, il avait préféré en finir…
La sœur de mon père était venue à son enterrement. C’était la première fois que je la voyais ; et je garderais toujours en mémoire cette image : c’était une petite jeune femme d’une trentaine d’années, qui dégageait un aura que je ne pouvais décrire. Elle rayonnait de grâce et son allure fière n’était pas repoussante pour deux sous. Habillée de blanc, son visage était triste mais doux. J’étais loin de me douter qu’elle allait devenir ma nouvelle maman…

2 septembre 2004
Ou, la rentrée au lycée.
J’avais évidemment changé d’établissement ; mais aussi de quartier. Maintenant, je devais marcher un peu plus aux côtés de Tyler pour rejoindre l’un des lycées publics qui se trouvaient de l’autre côté de Central Park. Un monde nouveau s’ouvrait alors à nous et, cela nous faisait un peu peur…
Le directeur nous présenta le fonctionnement de l’établissement puis nous furent chacun appelé dans une classe. Malheureusement, c’était la première fois que j’étais séparée de Ty’ et je perdis ainsi tous mes repères.
- Euh… Excuse-moi, cette place est prise ?
Nos regards se croisèrent et je ne pus réprimer un sourire en l’invitant à s’asseoir. La deuxième rencontre la plus importante de ma vie, celle de ma meilleure amie, Lelya Albane Cutton. Souriante et bavarde, nous devinrent amies après une journée seulement. Elle est devenue ma moitié et, depuis cette rencontre, nous sommes toujours restées proches l’une de l’autre. Nous avons tout partagé, les bons comme les mauvais moments, et nous formions avec Tyler un trio de choc dont la complicité était enviée par certains.

23 mai 2006
Ce jour aussi, je ne l’oublierai jamais… Je vivais maintenant chez ma tante, ma mère ne pouvant plus du tout subvenir à nos besoins. Katy m’avait accueillit sans plus de questions chez elle ; et elle habitait un chic appartement d’Harlem, à seulement 100 mètres de Central Park. Cependant, derrière sa coquetterie et son franc sourire, c’était une championne en courses de rues… Et, c’est à ce moment là que je découvris ce que voulait vraiment dire être rider. Je devins son copilote, et il ne me fallut que 10 secondes pour savoir que cela deviendrait ma passion !
Ainsi, Katy m’enseigna tout ce qu’il fallait connaître pour être un bon coureur et, le jour de mes 17 ans, elle m’offrit son propre bolide… Elle souhaitait raccrocher et me passa alors la main. Seulement, je ne voulais pas dépendre d’elle, ni de personne financièrement. Du coup, je travaillais officiellement comme femme de ménage pour diverses riches familles de New-York, mais cela servait simplement à boucler les fins de mois… Car officieusement, il m’arriver de dealer un peu… Beaucoup même ! Mais qui n’a jamais fait d’erreur dans sa vie ?
Je me fis rapidement un nom dans le milieu des courses de rues et, sans me vanter, j’étais un redoutable adversaire pour tous ces messieurs et ces quelques demoiselles.

7 septembre 2007
Et oui ! Comme tous les étudiants, il fallait, à un moment ou à un autre que j’entre à la fac ! Cela fut possible grâce à ma tante et je choisis alors la filière « droit ». En effet, ce milieu m’avait toujours beaucoup attiré et je souhaitais vivement défendre ‘la veuve et l’orphelin’ comme le dit l’expression.
L’université rima avec rencontres. Certaines amoureuses, même si le mot qui convenait était plus ‘flirts’, d’autres amicales. Mais ma plus belle rencontre en ce lieu prisé de New-York fut celle du jeune Matthew Tomas Johnston, en une belle soirée d’octobre 2008…

5 juin 2018
Ma relation avec Matt filait bon train. Nous étions éperdument amoureux l’un de l’autre ; même si j’avais du mal à le lui dire… Il devint chirurgien urgentiste tandis que je décrochai, non sans mal, un poste d’avocate dans un petit cabinet new-yorkais.
Nous avions 28 ans. Il me demanda ma main, et avant même que je ne puisse lui répondre « Oui oui oui ! Je t’aime plus que tout au monde ! », un malade le descendis.
Depuis ce jour, je me plongeai corps et âme dans ce boulot que j’affectionne tant.

27 août 2019
Enfin, je reçu cette lettre. Et j’étais loin de me douter que je pourrais avoir la chance, en me rendant à une modeste soirée d’anciens élèves, de revenir en arrière et de pouvoir tout changer… »

QUESTIONNAIRE
questionnaire

Avez-vous commis des erreurs dans le passé ? « Oui, quelques unes
Si oui, lesquelles et souhaitez-vous les réparer ? « Ma plus grande erreur a été de sombrer quelques temps dans la petite délinquance. Je m\'en suis sortie et cela m\'a permis de grandir donc, même si je n\'arrive pas à le changer ce n\'est pas très grave.
En revanche, j\'ai fait l\'erreur de ne pas ouvrir mon coeur assez tôt et il est clair que je ne veux pas répéter ce genre de choses.
Qu\'est-ce que vous regrettez le plus ? « Que Matt soit parti avant même que je puisse lui dire aurevoir. D\'ailleurs, je ne veux pas qu\'il meurt !
Garderez-vous le secret de votre retour en arrière ? « Je pense que oui.
Sauverez-vous une personne, si vous connaissez son triste destin ? « Oui !! Je tenterai de sauver Matt !

DERRIÈRE L\'ÉCRAN
derrière l\'écran

pseudo & âge « Clems, 19 ans
la raison de votre venue ici « Je sais qu\'au moins l\'une des créas est adorable ! ^^
comment avez-vous connu le forum ? « *pointe du doigt* Lucie !
code « *ok*

Lucie ??? Encore elle oO
Bienvenuuu =)

Elle recrute
Bienvenue parmi nous & je te souhaite bon courage