Abbey Lisbeth Simpson

© Vivouille

SIMPSON Abbey Lisbeth feat - Megan Fox - IDENTITÉ identité nom « Simpson prénom(s) « Abbey Lisbeth âge « 23 ans date de naissance « 22 mai 1986 lieu de naissance « Miami Baby nationalité « Franco-Americaine occupation « Etudiante en Psychologie situation « Veuve en 2019, fiancée en 2009 classe sociale « Moyenne groupe « we're back to change the future

CARACTÈRE
caractère

Contrairement à ce que l'on pourrait pensé, je ne suis pas une de ces filles superficielle qui passe leur temps à regarder leur nombril dans le miroir. Je suis plus du genre à passer mon temps le nez dans les bouquins, pas comme une intello', non loin de là, je suis plutôt du genre à dévorer de bons romans, la preuve je suis, ou du moins j'étais devenue, enfin c'est un peu compliqué tout ça, mais en 2019 je suis un écrivain connue.
Au lycée j'étais du genre solitaire, là encore pas une solitaire, timide, renfermer sur elle-même, non j'étais juste du genre à aimer être seule, tout en aimant être entouré de gens. J'aimais ma liberté, j'aimais faire ce que je voulais quand je voulais. Faire partie d'une bande ne m'a jamais intéressé, car au final que l'on soit la brebis qui suit une autre brebis, ou une brebis suivie par d'autres brebis, cela revient au même, personne n'a ça propre personnalité, tout le monde au finale copie sur l'autre. Bien sûr je n'étais pas non plus d'un autre temps, je suivais la mode, tout en la remodelant à ma façon. J'ai toujours su utiliser mes charmes quand il le fallait, après tout mon physique n'a jamais laissé personne indifférent, mais je n'ai jamais voulu être une "marie couche-toi là" ou plus communément appeler "salope".
En même temps mon caractère m'en empêcher, le peu de garçons qui si sont risquer à me faire des avances mal placer, on finit avec une voix de petites filles pendant quelques jours, oui je sais frapper là où ça fait mal. Je sais aussi être douce quand je le veux, surtout avec les gens qui me sont chers, comme Stan et Andrew, le meilleur ami de mon homme et mon homme. Mais je peux être aussi très chiante, mon caractère était plutôt du genre changeant, oui j'avoue j'étais lunatique, très lunatique, mais les gens savaient quand il fallait se mettre à l'abri, j'étais à c'est facile à deviner, enfin du moins pour ceux qui me connaissaient.
J'étais quelqu'un de lunatique, mais je savais aussi être adorable, à l'écoute j'aimai aider les autres, de quelques façon que ce soit, mais ça à changer, ça à changer à la mort de Cassy, je me suis fais connue grâce à elle, sa vie m'avait tellement touché que je n'ai pu m'empêcher d'écrire un livre sur elle, sur sa vie, sa triste vie et maintenant que je suis de nouveau en 2009, je suis tirailler entre l'envie de l'aider, comme je l'aurais fait avant et l'envie d'écrire un livre qui va me rendre célèbre.
J'étais et je suis toujours très taquine, j'aime embêter les gens mais, jamais méchant, sauf quand ils l'ont mérité car, je sais aussi avoir des répliques cinglantes quand il le faut, mais sinon a part ça j'aime rire et amuser les gens, je suis maladroite, enfin en quelque sorte, je ne suis pas vraiment maladroite je dirais plutôt gaffeuse, dire quelque chose qu'il ne faut pas quand il ne le faut pas c'est tout à fait moi, mais j'arrive toujours à me rattraper, rappeler vous, avec mon charme je peux faire ce que je veux.
Je suis une vraie pile électrique, dû moins je le suis maintenant, avant j'étais plus cool, alors que maintenant on m'a souvent demandé si je n'avais pas pensé à arrêter la caféine, parce que je suis à c'est, comment dire, assez épuisante, il me faut une bonne raison, pour m'asseoir et me détendre, sinon je n'arrête pas de bouger, ce qui peut en énerver pas mal, mais si les gens apprenaient à me connaître réellement, ils devraient savoir que si je suis comme cela aujourd'hui, c'est pour ne plus penser à ma vie et à ce vide immense que la mort de Stan a laissé.
Avant sa mort j'étais pleine de vie, toujours souriante, drôle, j'aimai la vie, après sa disparition je suis devenue une de ces filles hautaines, qui avait un "balai dans le cul", tout le contraire de ce que j'étais quand Stan était à mes côtés, on ce moquait même de ces filles-là justement.
Je suis quelqu'un d'assez têtue, je n'en fais qu'à ma tête, je peux foncer tête baisser dans le danger, sans vraiment le faire exprès, j'ai l'impression de souvent jouer la princesse en détresse qui attend l'aide de son prince charmant, alors que ce n'est pas du tout mon genre, bien sûr je me tire généralement de mauvais pas, dans lesquels je peux me fourrer, comme une grande, mais je dois me souvenir qu'on ne peut pas toujours gagner.
J'ai oublié de priciser que mon humour est très nul du moins quand j'en avais un... Mais j'arrivais pourtant à en faire rire pas mal, ce qui m'étonnait d'ailleurs, je ne savais pas si c'était de moi que les gens rigolaient ou bien de mes blagues à vrai dire, mais l'essentiel c'est que cela les fessaient rires non ? Ah oui vous avez remarqué je suis également une très grande bavarde, cela doit en saouler pas mal, mais je les comprend je me saoule moi-même des fois.

HISTOIRE
histoire

C'était il y a longtemps... C'était un autre temps

22 mai 1986
Hôpital de Miami
8.36 a.m

Un léger rayon de soleil, viens traverser ces épais nuages qui recouvre Miami rare sont les nuages dans cette ville, mais aujourd'hui c'est exceptionnel, c'est pour qu'un rayon de soleil vient éclairer une jolie chambre, dans la chambre 368 de l'étage maternité de l'hôpital. Un père absent, remplacer par une mère fière de sa fille et de sa petite fille est là assis près du lit de sa fille, elle prend des photos d'elle et de la petite chose fragile qu'elle tient dans ses bras... Cette petite chose fragile c'est moi Abbey. Cela fait quelques heures à peine que j'ai montré le bout de mon nez, que déjà je montre un fort caractère " Tout sa grand-mère ", dis ma grand-mère en souriant.
Un ange, voilà ce que je représentai pour ma mère qui n'avait jamais vraiment eu de chance dans sa vie. Un enfant béni des dieux, qui allait avoir une merveilleuse vie. Du moins c'est ce que ma mère dit quand le rayon de soleil pénétra sa chambre. Mais ce rayon de soleil représenta toute autre chose, mais en attendant que le destin fasse que ma mère quitta ce monde, j'ai eu une merveilleuse enfance, sans père serte mais ma mère à toujours était présente pour moi, comme ma grand-mère, du moins jusqu'au suicide de sa fille...

23 avril 1991
Maison des Simpson
7.38 p.m

Une petite fille cours en criant dans toute la maison alors qu'un monstre la poursuit... La petite fille ? C'est moi. Le monstre ? Ma mère. Voilà qu'elle m'attrape et me fait des chatouilles, mon rire cristallin rempli la maison de joie et de bonheur les yeux de ma mère s'illuminent, ma grand-mère qui a toujours été présente dans nos vies, est ici aussi, son rire se joint aux nôtres. Voilà une journée normal dans la famille Simpson... Mais voilà le soleil perd toujours contre les nuages... Un homme, mon "père" apparemment vient frapper à la porte. Je ne l'avais jamais vu et après ce jour je ne l'ai jamais revue mais je me rappellerais de son visage même dans une foule noire de monde s'il s'y trouvait. Pourquoi était-il là ? Je ne l'ai jamais su, mais je sais qu'après son départ la maison était dévastée, comme ma mère, qui n'a jamais pu était la même après ça... Est-ce que mon "père" m'a jeté un regard ? Ma souris ? Non, il ne m'a même pas calculé, je pense même qu'il n'a jamais sus que j'étais sa fille, à vrai dire j'ai toujours pensé que c'était mieux ainsi, quand on me demandait ce que fessait mon père, je répondais tout naturellement qu'il était mort, en rajoutant " Mais ce n'est pas grand, je ne l'ai jamais connu alors à quoi bon m'apitoyer sur mon sort ? Si la vie veut que je n'ai pas de père et bien qu'il en soit ainsi ". Les gens me regardaient bizarrement, puis me laisser tranquille.

24 Décembre 1996
Maison des Simpson
6.44 p.m

- Maman ! maman !
Une jolie petite tête brune descendait l'escalier assez vite, une poupée aux anglaises blonde, en porcelaine dans la main, elle essayait déchaper au histoire plus grotesque les unes que les autres, que sa grande sœur n'arrêter pas de lui raconter. Cette petite fille ? C'était ma soeur, Sarabeth. J'étais alors âgé de 10 ans, ma sœur en avait 7 de moins, et j'adorais lui raconter des histoire fantastiques, avec des sorcières, des fantômes, des loup garou, et surtout ces affreux monstres suceur de sang, au yeux rouges : des vampires... Je savais bien que cela n'exister pas, ma soeur elle était plus jeune, donc plus facilement infuensable j'adorais lui faire peur, mais jamais méchament, la voir courir pour se réfugier dans les jupons de grand-mère, me fessait rire, rire cristallin qui la suivait jusqu'en bas des marches, et qui s'arrêter aussi net quand ma grand-mère, me disait :
- Abbey arrête d'embêter ta sœur !

Je sais que ma petite soeur guettait une réponse de ma part mais rien, comme toujours, j'étouffais mes rires la tête dans les cousins.

Où était ma mère ? D'où venait ma petite-soeur ? Avais-je un beau-père ? Non je n'avais pas de beau-père, ma mère se trouvait dans sa chambre, avec sa dose d'exomil et de whisky, elle devait cuvé. Quant à ma soeur ? C'était ma renaissance, ma poupée grandeur nature, ma meilleure amie. Ma mère avait eu une relation non protégé avec un homme marié, elle ne lui en avait jamais parlé, mais avait décidé de garder ma petite soeur. Elle était beaucoup pour moi.

17 Janvier 2000
Collége, Miami
1.14 p.m

- Toute façon ta mère, elle est bonne qu'à boire.
- Ouéééé !
Crie en coeur les "groupies" du plus crétin des garçons que je connaissais. Je n'ai pas le temps de réfléchir à ce qui se passe, que mon poing rencontre son éééénooormes gros nez et encore je suis gentille, j'aurais pu viser un endroit plus douleurs, mais je n'avais pas vraiment réfléchis à ce moment-là. Comme un réflexe ses mains ce plaquent sur son nez, avec une phrase tout à fait logique qui suit le mouvement.
- Elle m'a cassé le nez cette pute !

Mais non je ne lui avais pas cassé le nez, les hommes sont des chochottes, mais ça ce n'est pas nouveau hein ! Ce qui me fit rire, mais je n'avais parcontre, pas prévus que les crétins qui le suivaient comme de bons chiens bien dresser, allez se jeté sur moi. Oui quatre mecs qui croyait que j'étais wonder-woman et que se mettre à quatre sur moi c'était moins dangereux que d'essayer de me faire mal un part un. Mais voilà je n'étais pas wonder-woman et même à 14 ans on a beau être robuste, on n'arrive pas à encaisser tous les coups.
Moi qui pensait que j'allais être défiguré, il n'en fut rien, un garçon que je n'avais jamais vu venait de les faire fuir, comment ? Je ne sais pas vraiment j'étais trop occupé à me planquer le visage, pour entendre ce qui leur avait dit. Avec un sourire il me tendit la main, que je ne pris pas, il était charmant, mais je ne voulais pas, avoir un "prince charmant". Quand il vit que je ne pris pas sa main, il se la passa dans les cheveux avec un geste qui m'attendrissait. Mais ce n'était pas le moment d'être attendrit, ma grand-mère n'était plus toute jeune et ma mère était comme une bouteille de whisky toujours pleine, c'est moi qui fessait les courses et qui m'occupait de ma petite-soeur, le "bébé" de sa maman, la chouchoute de ma mère. Voyant que je ne parlais toujours pas, je ne voulais pas engager la conversation avec lui, mais lui voyait ça d'un autre oeil, il s'expliqua :

- J'ai vu la scène en sortant de mon cours et je ne pouvais pas te regarder te faire massacrer par ces brutes, sans rien faire, bien que je dois dire que tu as une sacrés droite.

Et voilà qu'il me fait un des plus beau sourire, que je n'avais jamais vu. Je lui en rendis un plutôt timide, puis tout en me massant le coude je lui dis :

- Merci

J'appris plus tard qu'il s'appelait Stan, c'était mon nouveau voisin et en 2012 j'allais me marié avec.

27 mai 2004
Jardin des Mayfair
10.32 p.m

- Mademoiselle Simpson voulez-vous devenir ma femme ?
- Andrew arrête de draguer ma copine.
- Les gars vous vous rappelez que je suis là avec vous, que j'entends tout, et que jusqu'à preuve du contraire je ne sors ni avec l'un ni avec l'autre.
- Comme tu es trop dur avec nous, tu brise mon cœur là.
- Le mien aussi.

C'était les hommes de ma vie, j'en aimais un et j'avais couché avec l'autre, qui par la suite était devenue mon meilleur ami, même si j'ai toujours pensé que ses sentiments à mon égard à toujours était plus que de l'amitié, mais il n'a jamais essayé de flirter avec moi, à part un soir d'égarement, où nous avons fini dans le même lit, notre amitié n'est jamais passer au stade supérieur, il savait que j'aimais Stan et pour ça je l'en suis reconnaissante.

- Abbey Lisbeth Simpson, fait gaffe à tes fesses si dans 5 minutes tu n'es pas dans ta chambre ! Et je ne plaisante pas !

Elle ne plaisantait jamais, même les garçons le savaient, elle était devenue dur, pas vraiment méchante, juste ce qu'il fallait, pour me faire peur, ou me mettre la honte devant des personnes quand il le fallait.


- J'étais ravis d'être avec vous les garçons, mais je dois allé jeté les bouteilles de whisky et me couchais apparemment.
- Ca va allez ?
- T'inquiètes pas Stan, je gères comme toujours.
- Je te raccompagne ?
- Oui si tu veux.
- Oki, Andrew ?
- Non allez y je reste là.
- Euh très bien.

La réaction d'Andrew, m'avait étonné, j'étais peut-être une fille, mais je ne comprenais pas toujours la subtilité des garçons. Arriver devant ma porte Stan, ne me laissa pas le temps de dire quelque chose, que ses lèvres se posèrent sur les miennes, je fus d'abord surprise, mais je répondis vite à se baiser que j'avais attendu depuis tellement longtemps, passant mes bras autour de son coup, je prolongeai ce moment, oubliant quelque instant tous mes problèmes, me sentant enfin bien.

- Maintenant quand je dirais à Andrew d'arrêté de draguer ma copine ça s'ra vrai.

28 avril 2008
Hôpital de Miami
2.29 a.m

- Mon bébé ! Tu as tuer mon bébé !
- Maman, c'est pas ma faute, ce n'est pas ma faute...

Stan et Andrew regarde cette scène impuissant, ma mère venait de me gifler, alors que je ressentais un vide immense en moi, ma soeur venait de se faire renverser par une voiture, alors que je devais la surveiller, ma grand-mère étant chez des amies, ma mère étant dans sa chambre, je lui avais dit que si elle voulait, elle pouvait nous rejoindre chez Stan. Je pensai même qu'elle avait un faible pour lui, enfin peut-importe elle était morte et aujourd'hui, ma mère m'en voulait, comme si c'était moi la personne qui se trouvait au volant de la voiture.

- Je ne veux plus jamais te voir tu m'entends plus jamais !

Alors que les larmes me montaient aux yeux, je tournais les talons et pris le chemin de la sortie, sans regarder Andrew et Stan, j'avais seulement besoin d'être seule loin de tout, loin de ma mère, loin du corps sans vie de ma soeur, j'avais juste envie de pleurer, oui c'est ça je voulais être seule et pleurer...

31 Juillet 2008
Maison des Simpson
8.44 p.m

- Maman, j'suis rentrée !

Après avoir fait un tour dans le salon et la cuisine, toujours pas de réponse de ma mère, alors que je sais très bien qu'elle est encore là, sa veste est là, ses chaussures sont là, la télé est allumée, la voiture est devant le garage. Rien n'indique donc que la maison est vide, pourtant à part le bruit de la télé, la maison semble vide. Mais il est assez facile de deviner où se trouve ma mère. Depuis l'enterrement de ma soeur, elle ne sort que très rarement et passe la plupart de son temps enfermé dans sa chambre, je décide donc de monter.

- Je monte !

Dis-je en montant quatre à quatre les marches. Une fois arrivée en haut, je vois la porte de sa chambre entre fermée, ou entre ouverte, comme le voulait. Je la pousse du pied puis rentre enfin dans la chambre. Elle était dans son lit, entraîne de dormir, du moins c'est ce que je pensais, arrivant au niveau du lit je vis la boîte d'exomil vide dans sa main ouverte, ses yeux étaient grands ouvert, alors que je pensais les avoir vu fermé il n'y a même pas 5 secondes, s'en doute espère-je là voir dormir... Il me fallut presque une bonne minute pour comprendre ce qui s'était passer, ma mère avait tentée de mettre 'fin à ses jours, mais elle pouvait... Elle n'avait pas le droit de m'abandonner pas comme ça, pas maintenant, pas si lâchement... Il me fallut encore une bonne minute pour que j'arrive à contrôler mes mains, qui tremblait alors que je tapais le 9.1.1 sur mon portable, je réussis à contrôler ma voix... L'ambulance fut là 10 minutes après, il fallut moins de 30 secondes à Stan pour être avec moi. Il ne fallut que 2 minutes pour déclarer ma mère morte...

Si le futur nous rattrapes... Si le passé nous échappes...

12 Octobre 2010
Appartement Mayfair / Simpson
8.36 a.m

-Chéri t'as pas vu ma brosse à dent ? J'ai un rendez-vous important et je ne la trouve pas, je vais pas y aller avec l'haleine du matin...

Stan appuyer au mur, me regarde avec ce sourire qui m'a fait craquer la première fois que je l'ai vu, me retourna je lui envoi une serviette à la tête et dis :

-Aide moi à chercher au lieu de me regarder avec ce sourire niaise.
- Non.
- Comment ça non ? J'suis presser !
- Prend la mienne !
- Tu sais très bien que j'ai horreur d'utiliser ta brosse à dent.
- C'est pour ça que je t'aime.
- Stan c'est pas le moment.
- Bah quoi ? Je n'ai pas le droit de te dire que je t'aime ?

Il s'approche de moi tout en continuant à dire "Je t'aime ! Je t'aime !..." il me prend des ses bras puis entre deux baiser, il murmure toujours ces trois mots " Je t'aime..."

- Stan je vais être en retard...

Dis-je en fessant semblant de le repousser, puis là je trouve enfin ma brosse à dent.

- Elle était là !
- Très romantique chérie.

Ayant la brosse à dent dans la bouche, je ne peux que lui faire un beau sourire, il s'appuie à la baignoire, croise ses bras sur son torse nus, puis il me sort la comme ça...

- On devrait se marié !

Cracha de dentifrice oblige, très glamour j'avoue...

- Tu peux répéter ça ?
-T'as très bien entendu.

Menace de mort avec comme arme principale une brosse à dent attention ça ne rigole plus !

- J'ai tué pour moins que ça tu sais ?
- Je plaisante pas
- Mais moi non plus
- Bon okay pose ta brosse à dent tu me fais peur xD
- Tu te fou de moi ?
- Mais non allez chérie, je t'aime, tu m'aimes et...
- T'es vraiment sur que je t'aime ? Qui te l'as dit ?
- Ton amant.
- Andrew devrait se taire parfois.
- Touché en plein coeur.
- Ah Ah !
- Répond à ma question
- Tu veux une réponse la maintenant ? En sous vêtement ? La bouche pleine de dentifrice ? En plus tu n'as pas vraiment poser de question
-Bon tu peux te rincer la bouche, mais les sous vêtement ne me dérange pas tu sais ? Puis si tu veux attendre la question je peux toujours te la poser.
- Pas maintenant pas comme ça

Alors que je suis dos à lui, face au miroir, je le vois se mettre à genoux, je me retourne et lance

- Stan, chéri, léve toi.
- Abbey Lisbeth Simspon, veut tu m'épousais ?
- Si ça peut te faire te levé je vais répondre oui

Dis-je un sourire en coin...

28 Août 2012
Appartement Mayfair
9.25 p.m

Je venais de me disputer avec mon mari, cela fessait 6 mois que nous étions mariés, voilà que notre mariage batter déjà de l'aile. Pour cause, ma jalousie qui n'a cessé de croitre quand il est devenu célebre. Comme toujours après nos disputes, il aimait prendre sa voiture, faire un tour, prendre l'air...

- Allô ?
- Oui
- Je suis bien chez Mr et Mme Mayfair ?
- Oui.

Même après six mois je n'arrivais pas à me faire à l'idée que je me nommai à présent Mayfair. Je croyais avoir le temps de m'y habituer...

- Vous êtes Mme Mayfair est-elle là ?
- C'est... c'est moi.
- Vous êtes la personne désigner comme étant celle à prévenir en cas d'accident
- ...

Assise sur le rebord du canapé, aucun mot ne franchit mes lèvres.

- J'appelle au sujet de Mr Mayfair, il y a eu un accident et je suis désolée mais....

Je laisse la personne qui est au bout du téléphone parler dans le vide, le monde autour de moi s'écroule... Les derniers mots que j'ai dit à Stan ? " Je te déteste ! " sa réponse ? "Moi aussi"...

27 août 2019
Bureau de Melle Simpson
11.53 a.m

Rentrant d'une longue et ennuyante réunion avec mon éditeur, je me laisse 5 minutes de pause, en allant m'asseoir à mon bureau. Là en face de moi se trouve une lettre écrit à la main s'en cachet de la poste. Assez bizarre. Curieuse de nature je l'ouvre, je fus extrêmement surprise et pourtant flatter de savoir que même 10 ans après l'université pensait à moi pour une petite "sauterie", je pouvais enfin montrer à toutes ces saintes ni touche, pimbêche, que MOI j'avais réussi.

1er Septembre 2019
Reception des Ancien Eleves, Miami
8.10 / 8.59 p.m

J'avoue, j'avais eu du mal à me décider sur ma tenue, plein de fois, s'en vraiment savoir pourquoi, j'espère que Stan soit là pour qu'il m'aide à choisir ce que j'allais porter, puis plus je pensais à lui, plus je me disais que s'il avait été là, on n'y sera pas allé, ou alors habiller en plouc rien que pour voir la tête des miss "perfections de l'année 2009" mais il n'était pas là, il n'était plus là. Je commençais à me remémoré des bons moments passer avec lui, puis je ne sais pas vraiment pourquoi, ou plutôt si je sais, mais en pensant à lui, je me suis aussi mise à penser à Cassie, une fille géniale, du moins que j'ai commencé à trouver géniale après la FAC, elle avait besoin d'aide et j'aurais dû l'aidé, mais je n'ai pas réussi... Elle aussi, tout comme Stan aller manquait à l'appel ce soir. Dire que j'ai écrit un livre sur elle à la mort de Stan, c'est comme ça que je suis devenue célèbre...
Plus j'y pense plus je me dis que je ne devrais pas aller à la fête mais.... On sonne à la porte, c'est Andrew, on a décidé d'y aller ensemble, en souvenir du bon vieux temps...

Je ne pouvais m'empêcher de regarder ma montre, je ne sais pas pourquoi, mais je me sentais mal à l'aise... Il était presque neuf heures quand tout autour de nous se mit à trembler, des bruits de verre casé, des cris puis...

1er Septembre 2009
Chambre d'Abbey Simpson
8.34 a.m

Le réveil sonne... Ce réveil je ne l'ai pas entendu depuis plus de 10 ans. Je dois faire un cauchemar, il y a eu un tremblement de terre et j'suis à l'hôpital, oué ça je ne suis pas morte. Dommage... Puis voilà que la voix de Stan murmurant à mon oreille que la belle au bois dormant devrait se réveiller, il faut que j'aille en cours apparemment... Oui je dois être au paradis c'est ça... Me réveil dans les bras de Stan à la place de ce d'Andrew c'était plutôt bizarre est inatendu...
Au bout de quelque minutes je compris que je ne rêvais pas et que je n'étais pas non plus au paradis, une nausée matinale m'en mena tout droit dans la salle de bain...

avez-vous commis des erreurs dans le passé ? « Qui n'a jamais commit d'erreur ? Que ce soit dans le passé, dans le présent ou même dans l'avenir, des erreurs, on en a fait, on en fait et on en fera toujours. Il y a certaine erreur qui sont déjà passés, même si je suis revenue du futur il est trop tard pour changer certaine chose, le suicide de ma mère par exemple remonte à l'été 2008, nous sommes en 2009, impossible donc de rattraper l'erreur qui fait que ma mère n'est plus là, car oui j'ai toujours eu sa mort sur ma conscience, car je sais que c'est quelque chose que j'ai fait qui l'a mené six pieds sous terre. Enfin pour répondre à votre question oui j'ai fait des erreurs.
si oui, lesquelles et souhaitez-vous les réparer ? «En oubliant celle qui se sont produit avant 2009, il y a deux choses que je veux réparer, la première et non des moindres et sans doute cette disputes qui a mené à la mort de l'homme qui m'a toujours soutenu, ce n'était pas notre première disputes, mais je ne pensai pas que cela serait notre dernière. Il est mort en 2012 seulement 6 mois après notre mariage, ma jalousie avait grandi, alors qu'elle n'aurait jamais dû être présente, sans vraiment savoir comment la confiance aveugle que je lui portais c'était envolé. Ma deuxième erreur est d'avoir couché avec le meilleur ami de Stan, là encore je ne peux rien y faire, à part lui dire avant qu'il ne l'apprenne par quelqu'un d'autre, qui fera que ça ne sera plus jamais pareil entre lui et moi, même après le mariage.
qu'est-ce que vous regrettez le plus ? « A part la mort de ma mère ? De l'homme que j'aime ? Sans doute être devenue la personne que je suis devenue, malheureusement en revenant dans le passé j'ai gardé mon caractère du futur et ça me fait peur, je me dis que de revoir Stan, Andrews, avec mon état d'esprit 2019 ça ne va pas le faire. On verra bien, j'espère redevenir celle qui a fait battre la chamade au coeur de Stan.
garderez-vous le secret de votre retour en arrière ? «Je pense qu'il faut changer les choses doucement comme ça normalement, pas passer pour une folle aux yeux des gens qui me connaissent, je pense qu'il faut garder la vérité pour moi, on me prenait déjà pour une folle donc je ne vais pas tout faire pour que cela empire.
sauverez-vous une personne, si vous connaissez son triste destin ? « Voilà une question, sur laquelle je coince, car voyez-vous, ma carrière est basée sur la mort d'une fille, avec qui j'ai tissé une forte amitié, après la Fac, car à la Fac on, ou plutôt elle ne pouvait pas me voir en peinture et moi je ne pouvais pas m'empêcher de la fixer, de prendre un aire hautain avec elle, même si hautaine je ne suis pas, c'était juste plus fort que moi. La sauvez, ne pas la sauvez... Tel est la question... Non je n'ai pas oublié Stan, mais ça je pense pouvoir le changer bien avant que cela n'arrive...

pseudo & âge « Vivouille mais mes amis m'appelle Vivouille oué je sors xD Au bout d'un certain âge on ne dit plus son âge xDD
la raison de votre venue ici « Chérinette m'a forcer
comment avez-vous connu le forum ? « Par chérinette bien sûr :/
code «*ok*

Bienvenue parmi nous =)
Bonne chance pour ta fiche